Face cachée du coronavirus : politique d’extinction de masse ?
Jean-Raoul Lumpungu (lumpunguraoul@gmail.com)
Coronavirus contre les livres la presse écrite et les archives:
http://archivistebateko.canalblog.com/archives/2020/07/13/38428285.html.
La chine a accusé les Etats-Unis d’être à la base du covid 19. Cette accusation a été faite par un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian, le jeudi 12 mars 2020 sur son compte Twitter.
En outre, le professeur Luc Montagnier, biologiste et virologue français, soutient que le virus du corona a subi quelques modification. Ce qui suppose que le coronavirus a intentionnellement été injecté dans la population.
Ceci étant, une préoccupation mérite d’être soulevée : Pourquoi a-t-on injecté le coronavirus dans la population ? En guise d’hypothèse, trois points sont développés dans l’analyse : 1. Le nombre de la population mondiale inquiète les gouvernements 2. Des épidémies pour diminuer le nombre de la population : le malthusianisme 3. Suspension du financement par les Etats-Unis : l’OMS complice ?
1.Le nombre de la population mondiale inquiète les gouvernements
Le 13 novembre, plus de 15 000 scientifiques de 184 pays ont publié un cri d’alarme sur l’état de la planète pointant… « La croissance démographique rapide et continue » perçue comme « l’un des principaux facteurs des menaces environnementales et même sociétale.
2. Des épidémies pour diminuer le nombre de la population : le malthusianisme.
Le malthusianisme est une doctrine politique prônant la restriction démographique inspirée par les travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766-1834). Cette doctrine préconisait la limitation des naissances dans un but social.
Malthus a tiré une loi naturelle des sociétés naturelles : la population tend à croître plus rapidement que ses ressources, jusqu'à ce qu'interviennent des freins ou des limites à cette croissance (nommés checks). Ces derniers font régresser la population à un niveau supportable pour assurer la nourriture de l'ensemble.
Concernant ces obstacles — ou checks — , ils sont de deux natures : d'une part, les décisions conscientes prises en connaissance de cause pour freiner la croissance démographique : avortement, contrôle des naissances, célibat, entre autres. D’autre part, les positive checks (aussi traduits en français par « obstacle répressif » ou « obstacle malthusien », qui s'imposent de l'extérieur de façon brutale, à l'instar des famines ou des épidémies « phénomène d’extinction de masse ».
Si les obstacles à l’instar des famines et des épidémies sont dans l’analyse de Malthus d’ordre naturel, les adeptes du néomalthusianisme semble réfléchir en termes de l’usage d’armes biologiques pour provoquer des épidémies afin de réduire le nombre de la population d’une manière brutale.
En effet, face au constat d’échecs des politiques pour freiner la croissance démographique d’une manière volontaire (contrôle des naissances, planification…), le recours aux « obstacles répressifs » qui imposent de façon brutale un frein à la croissance démographique avec l’utilisation des armes biologiques semblent être à l’ordre du jour des politiques.
De ce qui précède, la standardisation des gestes appelés barrières comme mesures préventives contre le coronavirus notamment la distanciation sociale entre individus, éviter les embrassades et les bises…inculquent la peur de la maladie qui va avoir avec le temps un effet psychologique important sur les populations avec comme résultat attendu la réduction des ardeurs amoureuses avec l’espoir de réduire la procréation.
3. Suspension du financement par les Etats-Unis : l’OMS complice ?
Ainsi, partout l’explosion démographique semble s’être imposée comme une évidence. Si le coronavirus a intentionnellement été introduit dans la population, alors nous avons affaire à une politique d’extinction de masse afin de réduire le nombre de la population mondiale. Mais aucun gouvernement ne veut assumer devant l’opinion publique la mise en pratique du malthusianisme comme politique gouvernementale. Par conséquent, on se rejette la responsabilité. En l’absence des preuves, le doute profite à l’accusé ou aux accusés.