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13 novembre 2017

Histoire cachée de la Bible

                                La Bible a longtemps été interdite. Le fait de lire  la Bible aujourd’hui a été le fruit d’une longue lutte que nous rappelons dans cet article. Qui interdisait la Bible et pourquoi ? Il semble que c’est l’Eglise catholique romaine qui interdisait la Bible aux fidèles «  de peur qu’ils la comprennent de travers… » . En réalité, l’Eglise catholique romaine cachait un fait historique. Nous vous invitons à le découvrir. Trois points sont développés à ce sujet : Egypte peuple de Dieu : histoire cachée, Interdiction de lire la Bible et la renaissance.

                                 Egypte peuple de Dieu : histoire cachée

                                 Israël est le seul peuple de Dieu. Cette croyance semble conforme à la Bible, en particulier à l’ancien testament. Et pourtant, ma surprise était grande en lisant Esaïe 19,25 du fait que  Dieu appelle l’Egypte son peuple.

                               Esaïe 19,25    

L’Eternel des armées les bénira, en disant :

Bénis soient l’Egypte, mon peuple,

Et l’Assyrie, œuvre de mes mains,

Et Israël, mon héritage !

Egypte peuple de Dieu ? Le doute m’envahit sur la compréhension de ce verset sachant qu’Israël est le seul peuple de Dieu. Une erreur a-t-elle été commise dans la Bible ? C’est ainsi que j’ai eu à cœur d’entreprendre une étude comparative de plusieurs traductions de la Bible sur ce verset. Mais force est de constater que  la traduction est la même. Ce qui suppose qu’il n’y a pas d’erreur de traduction. 

 Face à cette exactitude, une autre préoccupation se dégage : Comment Dieu peut-il appeler l’Egypte son peuple alors  que le seul peuple de Dieu est Israël ? J’ai fini par trouver la réponse à cette question dans Romain 9,25 car Dieu dit : « …J’appellerai mon peuple celui qui n’était pas mon peuple… » .

Ceci étant, s’il est vrai que l’Egypte n’était pas le peuple de Dieu, mais Dieu dans sa souveraineté a décidé de faire de l’Egypte son peuple. Car, « le potier n’est-il pas maitre de l’argile, pour faire avec la même masse un vase d’honneur et un vase d’un usage vil ? ». L’Eternel  Dieu avait décidé de  se  révéler aux Egyptiens, de faire d’eux son peuple et de devenir leur Dieu.  

Esaïe 19, 21

Et l’Eternel sera connu des égyptiens

Et les égyptiens connaitront l’Eternel en ce jour-là ;

Ils feront des sacrifices et des offrandes,

Ils feront des vœux à l’Eternel et les accompliront.

En outre, le Dieu unique, YHWH, confia une mission au Pharaon d’Egypte, mission que l’apôtre Paul révèle dans Romain 9,17

Romain 9,17

Car l’écriture dit à Pharaon : je t’ai suscité à dessein pour

Montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié

Par toute la terre

(Source : La Sainte Bible, version Louis SEGOND)

                            Dieu a choisi un roi africain, en l’occurrence le Pharaon d’Egypte, pour l’utiliser afin que son nom soit publié par toute la terre, à partir de l’Egypte, en terre d’Afrique. C’est le but de l’histoire de l’Egypte : faire connaitre le nom de Dieu, YHWH, sur toute la terre car Dieu étant invisible, la connaissance des faux dieux ou des idoles était très répandue. En plus, étant invisible, Dieu se révèle mieux dans l’histoire car celle-ci (histoire) témoigne de ce que Dieu a fait et accomplis par rapport à ce qu’il avait prédit ou annoncé par ses prophètes.

                              En effet, Dieu avait prédit une famine mondiale  provoquée par sept ans de sécheresse  dont la solution avait été révélée par Dieu, YHWH. Cette prophétie révélée par Dieu au Pharaon d’Egypte à travers un songe, s’accompli peu après.  

                   Nous connaissons cette histoire car Dieu recommanda au Pharaon d’Egypte  de graver sur la pierre, la stèle, son intervention sur la terre relatée dans ce récit. « Pharaon obtempérera à la demande du dieu Khnoum et par décret royal,  cet épisode de l'Histoire égyptienne sera inscrit sur une tablette au temple et sur une stèle de l'île sainte pour commémorer l'évènement » (Extrait de la stèle de la famine de source égyptienne), (voir aussi Esaïe 19, 19-22).  

                 Ainsi, Dieu, YHWH, avait fait le choix  de l’Egypte, terre d’Afrique, pour se révéler aux hommes dans l’histoire notamment lors de  la famine mondiale provoquée par sept ans de sécheresse. Dieu  avait révélé la solution à l’Egypte, terre d’Afrique, qui était devenu le grenier du monde où tous les hommes s’approvisionnaient en nourriture. C’est à partir de cet évènement que toute la terre a connu le Dieu unique, YHWH, le Dieu de Joseph, vizir ou premier ministre de l’Egypte.

                  Ceci étant,  ce n’est ni à partir d’Israël, ni de la Mecque, ni de Rome que la connaissance du Dieu unique s’est répandu sur la terre, mais à partir de l’Egypte. Car, l’Egypte, terre d’Afrique, est  le berceau du monothéisme ou de la croyance en un seul Dieu, YHWH. Le doute à ce sujet a été balayé par une batterie de chercheurs réputés tels Erik Hornung qui dans son ouvrage intitulé «l’Un et le Multiple», cite Eugène Grébaut qui en 1870, concédait déjà que « dans l'antique religion égyptienne, le monothéisme est incontestable », ce que souligne Jean Claude Brinette dans son article « La présence du monothéisme dans la religion égyptienne » ([1] ). 

En outre, auteur d’une vaste étude sur les racines égyptiennes de l’Islam préfacée par le professeur Babacar Sall, Papa Fary Seye affirme, après avoir examiné les Textes Sacrés Africains, que « dans les documents écrits, témoins de la brillante civilisation égyptienne, l’idée du Dieu unique n’y fait aucun doute » ([2]).

  Cependant, l’Eglise catholique romaine n’a pas voulu reconnaitre que  les égyptiens connaissaient le Dieu unique, YHWH, parce-que ce sont des africains.

En effet, l’Eglise catholique romaine a élaboré la doctrine selon laquelle la connaissance du Dieu unique, YHWH, s’est répandue dans le monde, en particulier en Afrique, à partir de Rome grâce à elle. Mais sachant que cette doctrine va à l’encontre des écrits  biblique ,l’Eglise catholique avait par conséquent interdit la lecture de la Bible .

En outre, l’Eglise catholique a consacré Israël seul peuple de Dieu, écartant ainsi les égyptiens parce-que ce sont des africains.  Ceci étant, l’Eglise catholique romaine se limite à enseigner la colère de Dieu sur les égyptiens, mais n’enseigne pas le fait que les égyptiens se sont convertis à l’Eternel Dieu, YHWH comme atteste le verset suivant :

Esaïe 19,22

Ainsi l’Eternel frappera les Egyptiens,

Il les frappera, mais il les guérira ;

Et ils se convertiront à l’Eternel,

Qui les exaucera et les guérira

                               Ces versets prouvent que les égyptiens ont connu l’Eternel Dieu, YHWH, et se sont convertis à lui. Le récit de Joseph en Egypte nous relate dans quelle circonstance historique les égyptiens ont connu l’Eternel Dieu, YHWH, ainsi que le reste de la terre. C’était lors de la famine mondiale provoquée par sept ans de sècheresse. Mais cette histoire a été  effacée.  

                              En effet, Hubert Deschamps dans son ouvrage « Histoire Générale de l’Afrique Noire » évoque l’effacement de l’histoire de l’Afrique en ces termes : « au temps de Bossuet, on limitât l’histoire universelle à Israël, aux Gréco-Romain et à l’Europe policée, c’était la norme ».                               

                                  Et pourtant, l’essentiel de l’histoire de l’Ancien testament se déroula en Egypte, terre d’Afrique, avec les récits d’Abraham, de Jacob, de Joseph, de Moise bref de 430 ans de présence  juifs en terre africaine et près du Nil, fleuve d’Afrique. Comment a-t-on  écarté l’Egypte, terre d’Afrique, de l’histoire universelle ? Il semble que c’est en réduisant le rôle de l’Egypte à celui d’avoir fait  du peuple de Dieu, Israël, des esclaves.

                                 Ainsi,  l’Egypte a été décrite  comme un pays où régnait le diable de qui émanait le pouvoir de Pharaon. Et pourtant, la Bible relate le fait que le pouvoir de Pharaon émanait de Dieu, YHWH, dans Romain 9,17 : « Car l’Ecriture dit à Pharaon : je t’ai choisi à dessein… » . Le choix de Dieu sur le Pharaon avait un but révélé dans Romain 9,17 : montrer au monde la puissance de Dieu «  afin que mon nom (le nom de Dieu) soit publié (ou connu) sur toute la terre ».

                              Par conséquent, l’esclavagisme du peuple juif en Egypte ainsi que l’endurcissement du cœur du Pharaon qui avait réduit les Israelites en esclavage était  le plan de Dieu, YHWH (et non du diable). De ce fait,  l’Eglise catholique romaine a  faussement enseigné que les africains ne connaissaient pas le Dieu unique, YHWH, et que l’Egypte était un pays où régnait le diable, un pays des sciences occultes.

                                   Car,  l’Eglise catholique romaine  avait  fait de la mission d’amener la connaissance du Dieu unique, YHWH, jusqu’aux extrémités   de la terre  sa mission principale.  Cette mission de l’Eglise catholique romaine nécessitait la contribution de tous les catholiques européens. Et Cette contribution avait un caractère obligatoire étant payée sous forme d’impôt : la dime prélevée dans tout l’empire romain et après la chute de l’empire, dans tous les Etats soumis au catholicisme.  

                                 Ceci étant,  il a fallu empêcher que les catholiques découvrent  que la doctrine selon laquelle la connaissance du Dieu unique, YHWH, se répandait dans le monde à partir de Rome, est fausse.  Pour cela, il fallait interdire la lecture de la Bible.                            

                                  Interdiction de lire la Bible      

 Les enseignements du Catholicisme étaient basés sur des dogmes et non sur la Bible. Autrement dit, les enseignements du catholicisme n’étaient pas conformes à la Bible.

De ce fait, il était nécessaire d’empêcher que les catholiques puissent s’en rendre compte. Il était pour cela impérieux d’éviter de traduire la Bible dans des langues connues des peuples.

C’est ainsi qu’en 1179, Le pape Alexandre III interdit la prédication des Vaudois. Ils prêchaient en employant une traduction de parties de la Bible en langue vulgaire.

Et en 1184,  lors du concile de Vérone, en Italie, le pape Lucius III, soutenu par l’empereur romain Frédéric Ier Barberousse, décrète que tous les “hérétiques” qui aiment la Bible et qui persistent à penser ou à enseigner autre chose que le dogme catholique seront excommuniés et remis au pouvoir séculier pour être punis (d’ordinaire le bûcher).

                                En 1199, Le pape Innocent III condamne la traduction en français des Psaumes, des Évangiles et des épîtres de Paul et interdit les réunions tenues dans le diocèse de Metz, en France, dans le “but coupable” d’étudier les Écritures. Des moines cisterciens brûlèrent toutes les traductions en langue vulgaire qu’ils trouvèrent.

                                En 1211, par ordre du pape Innocent III, l’évêque de Metz, Bertram, organise une croisade contre tous les lecteurs de la Bible en langue vulgaire et toutes les Bibles découvertes sont brûlées. En 1590, le pape Sixte-Quint fait savoir expressément que personne ne peut lire la Bible en langue vulgaire sans une “permission spéciale du Siège apostolique” ([3] ).

          En 1227-1241, le pape Grégoire IX retira complètement la Bible aux fidèles et en interdit la lecture au concile de Toulouse (1229). C'est lui qui éleva la terrible Inquisition (ces tribunaux ecclésiastiques sanguinaires qui pratiquaient la torture) au rang d'institution officielle de l'Église. Sous la menace des peines de l'enfer, par la torture et l'épée, on persécutait ceux qui possédaient une Bible dans leur langue maternelle ou des extraits de celle-ci.

            «Nous interdisons également qu'on autorise les laïcs à posséder les livres de l'Ancien et du Nouveau Testament. [...] Nous leur défendons avec la plus grande vigueur de posséder les livres précités dans la langue populaire ». Car ces livres révèlent que les africains, en particuliers les égyptiens, sont le peuple de Dieu, une vérité qui va à l’encontre des enseignements de l’Eglise catholique romaine.

 

Par conséquent, la décision est prise : « les habitations, les chaumières les plus misérables et même les refuges les mieux cachés de ceux chez qui l'on trouvera de tels écrits doivent être totalement détruits » ([4] ). Ces gens doivent être poursuivis jusque dans les bois et les cavernes, et quiconque les abrite doit s'attendre à être sévèrement châtié ([5] ).

            Les seuls textes qu'on avait encore le droit de lire étaient les Psaumes, et ce uniquement en latin; en effet, le peuple ne comprenait pas cette langue, pas plus que la plupart des prêtres! Le concile de Tarragone (1234) décréta également: «Personne n'a le droit de lire ou de diffuser l'Ancien ou le Nouveau Testament [...] faute de quoi [...] il sera accusé d'hérésie.» ([6] ).

            L’accès aux textes était verrouillé. L’attitude de l’Eglise vis-à-vis de la lecture de la Bible était alors la même que celle qui sera plus tard celle de l’Union soviétique et celle qui est aujourd’hui encore celle de l’Arabie saoudite : c’était prohibé parce que considéré comme subversif ([7] ).

             Face à l’interdiction de lire la Bible, un mouvement remettra en cause cette  interdiction : la renaissance, mouvement à la base de la naissance de l’Eglise protestante.

              En effet, après la découverte de l’embouchure du fleuve Congo en 1482, l’Eglise catholique soutenait la doctrine selon laquelle l’Afrique est à l’extrémité de la terre (Rome étant le centre) car les africains vivent en marge de la civilisation ou de l’humanité.

               En outre, selon toujours l’Eglise catholique romaine, les africains, vivant en marge de la civilisation ou de l’humanité, sont des peuples barbares qui font des sacrifices humains dédiés aux dieux païens. Tandis que pour les humanistes de la renaissance, l’Afrique est plutôt le centre ou le berceau de l’humanité et de la croyance en un seul Dieu, YHWH. Bref, la renaissance remit en cause la doctrine de l’Eglise catholique.

                C’est ainsi que le 16ème siècle a été essentiellement marqué par la lutte entre l’Eglise catholique romaine et les humanistes de la renaissance sur l’Afrique.

                Quid de la renaissance ?

                  Vers le 16 siècle, est né un puissant mouvement de rénovation des arts et des lettres fondé sur le retour à la culture antique : la renaissance. Celui-ci est qualifié d’humanisme, car ce mouvement portait les hommes de la renaissance vers l’étude des lettres antiques longtemps appelées lettres humaines par opposition à la théologie scholastique enseignée par l’église catholique dans les écoles avec comme seul langue d’enseignement le latin.

           Ceci étant, le mouvement humaniste est pour un temps surtout scolaire. « Il prend naissance par réaction à un enseignement qui portait presque exclusivement sur la théologie et la logique, sans remonter aux textes originaux …   ».

           Désireux de lire les textes originaux, les humanistes de la renaissance se sont intéressés à l’étude du grec ancien. Mais, « les théologiens, défenseurs de la tradition, s’inquiètent du mouvement humaniste. Ils le jugent dangereux pour l’orthodoxie. Le libre examen des textes peut en effet remettre en cause la doctrine officiellement enseignée ».Cela ne tarda pas à arriver.

             En effet, les humanistes de la renaissance découvrirent à travers les textes anciens que les grecs ont puisé la sagesse et la science en Afrique, en particulier en Egypte antique. SAUNERON le stigmatise en ces termes : « à parcourir les textes grecs anciens, on ne peut se défendre de l’idée qu’aux yeux de ces vieux auteurs, l’Egypte (terre d’Afrique) était comme le berceau de toute science, de toute sagesse ».

               En outre, AMELINEAU  dans ses prolégomènes à la religion écrivait : « j’ai vu alors, et clairement vu, que les systèmes les plus fameux de la Grèce, notamment ceux de Platon et Aristote, avaient l’Egypte pour berceau »

              Considérant que les humanistes de la renaissance se basaient sur l’histoire pour démontrer que l’Afrique est le berceau de l’humanité et de la croyance en un seul Dieu, YHWH, on édicta une norme interdisant toute référence à l’histoire de l’Afrique. On décréta l’Afrique continent sans écriture, sans histoire et sans civilisation ou humanité.

            C’est dans cette perspective que la lecture de la Bible répond à une philosophie : celui de l’effacement de l’histoire de l’Afrique. Voilà pourquoi l’histoire de l’Egypte, pays du continent africain, a été falsifiée. A défaut d’effacer les écrits de la Bible, on l’interdit et en changea l’interprétation.  L’Egypte, pays d’Afrique, est présentée  comme étant un pays où régnait le diable de qui émanait le pouvoir du Pharaon qui avait soumis le peuple de Dieu, les juifs, en esclavage.   

Par conséquent, dans l’imaginaire africain, l’Egypte est le pays du diable, des sciences occultes tandis qu’Israël est le pays de Dieu, YHWH. Et Rome est le siège de Dieu sur la terre. C’est ainsi que  les africains  n’apprécie guère l’Egypte préférant Israël. Cette observation peut être constatée sur le plan touristique. En effet, pendant que les occidentaux visitent régulièrement l’Egypte, la destination préférée des africains est Israël.

La vision négative que les africains ont de l’Egypte, pays du continent africain, est  fausse et malheureuse, et je pense que c'est l'une des raisons qui explique notre retard. Car, tout le monde, en particulier les occidentaux, vienne puiser sagesse et intelligence en terre africaine, en Egypte, et cela depuis les Grecs,  sauf les africains. On a une mauvaise perception de nous-mêmes, dans tous les domaines, y compris dans la religion ([8] ).                                                           

                                C’est ainsi qu’en dépit du fait que les africains  savent lire et écrire toutes les langues internationales (anglais, espagnole, portugais, français, hébreux, arabe…), rares sont  ceux qui ont  décelé dans la Bible, la Torah et le Coran, la vérité selon laquelle l’Afrique, en particulier l’Egypte,  est le berceau de la croyance en un seul Dieu, YHWH. D’où le pamphlet « si vous voulez cacher quelque chose aux africains, autant la mettre par écrit.

De ce qui précède, si on veut que l'Afrique retrouve sa dignité et son rôle de terre de solidarité et d’hospitalité suite à la révélation de Dieu, YHWH, « il faut que notre vision et connaissance spirituelle change » ([9] ). Et cela ne peut changer qu’en rétablissant la vérité écrit dans la Torah, la Bible et le Coran. La vérité selon laquelle le Dieu unique, YHWH, s’est révélé aux peuples de la terre, lors de la famine mondiale décrit dans le récit de Joseph en Egypte,  en terre africaine.

                               Ainsi, l’Afrique a connu le Dieu unique, YHWH, selon la Torah, la Bible et le Coran, à partir du séjour de Joseph en Egypte, en 3000 ans av. J.C  (bien avant la naissance de Moise, Jésus-Christ et Mahomet). Il sied de savoir que l’intérêt de cette étude est purement historique, c’est-à-dire nécessaire pour notre instruction car   « Vous connaitrez la vérité, et la vérité vous affranchira ». Et  « en Christ, il n’y a ni juif, ni grec », ni arabe, ni égyptien, ni blanc, ni noir, ni femme, ni homme, ni africain, ni asiatique, ni européen, ni américain. Nous sommes tous des frères en Christ.

Jean-Raoul LUMPUNGU

Chercheur à l’I.F.A.D.C 

Sciences physiques, socle des sciences sociales et des sciences de l’information et de la communication(SIC) : http://archivistebateko.canalblog.com/archives/2018/11/02/36835656.html



[1]   Origine africaine du monothéisme - anyjart.com

www.anyjart.com/monothisme

([2] ) Papa Fary Seye, Racines égyptiennes de l’au-delà musulman, éd. Le Harmattan.

www.forum-religion.org › Religion du Christianisme › Catholique

efforts.e-monsite.com/pages/vatican-interdit-la-lecture-de-la-bible.html

[6] Idem

[7] Jean-Marie Elie Setbon : La quête de la vérité a pour corollaire nécessaire la liberté
http://www.letempsdypenser.fr/2013/06/j ... a-liberte/

www.soninkara.com › Forum › Société Soninké › Religion

[9] Idem

 

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